Une journée à Star Académie

J’ai eu la chance d’as­sis­ter, le dimanche 28 mars 2004, au 7e gala de Star Académie grâce aux par­ents de Véronique Claveau. Comme les bil­lets sont rares et que je con­nais beau­coup de gens qui auraient aimé y aller, j’ai décidé de partager mes impres­sions de cette journée avec vous…

12h30 : Rendez-vous chez les parents de Véronique

Après être retourné chez moi parce que mon man­teau de print­emps ne tenait pas le coup face au vent froid, je me rends chez les par­ents de Véronique. C’est Joe, le chien de la famille, qui m’ac­cueille le pre­mier, sur le bal­con.

13h00 : Départ de Québec

Nous voy­a­geons dans 3 voitures séparées. En tout, on est 9 : Pierre et Denise (les par­ents de Véronique), Hans, Francine et Marc, qui sont de la famille, et les amis, Ari­ane, Pierre, Alex­is et moi. Tom­my va nous rejoin­dre à Mon­tréal. Je monte avec Marc et on suit la voiture offi­cielle — la Véro­Mo­bile — durant tout le tra­jet.

15h30 : Souper au St-Hubert de Sainte-Julie

Comme nous sommes en avance, nous prof­i­tons du beau temps. Il fait un soleil radieux et c’est un peu moins fris­quet qu’à Québec. Nous en prof­i­tons pour pren­dre une pho­to de groupe.

Photo de groupe.

Des gens remar­quent la Véro­Mo­bile. Deux dames vien­nent nous par­ler et sont heureuses de ren­con­tr­er les par­ents de Véronique.

18h00 : Arrivée au Mel’s

C’est là que Tom­my Morin nous rejoint dans le sta­tion­nement. Je n’ai aucune idée du moyen qu’il a pu pren­dre pour se ren­dre là (sans voiture, en plein parc tech­nologique) et je ne sais pas com­ment il a fait pour nous retrou­ver. C’est vrai que la Véro­Mo­bile est dif­fi­cile à man­quer, mais le sta­tion­nement est quand même assez vaste.

On enfile les t‑shirts « On t’aime Véro » et on se dirige vers la file à l’en­trée arrière du stu­dio.

Le « line-up » avance vite et on entre dans la bâtisse par une petite porte qui mène à un petit couloir. On entre ensuite dans une grande pièce, une énorme pièce… com­plète­ment blanche et vide, à part pour le ves­ti­aire dans un coin. Tom­my me dit que si cette pièce était son loft, il y installerait une pati­noire. Ça vous mon­tre un peu la grandeur. Après avoir déposé nos man­teaux au ves­ti­aire, Pierre nous remet nos bil­lets, nous pas­sons dans un détecteur de métal et arrivons enfin dans le stu­dio de Star Académie.

La pre­mière chose que j’ai remar­quée, c’est l’aspect mag­ique de l’en­droit. Il y a un petit quelque chose de très solen­nel dans la salle. On pour­rait presque par­ler d’une ambiance intime. C’est com­plète­ment dif­férent de ce que je m’imag­i­nais. Ce n’est pas aus­si grand qu’à la télévi­sion. Ça donne l’im­pres­sion d’être plutôt car­ré et non en longueur comme on pour­rait l’imag­in­er. Les éclairages sont très beaux, les employés très gen­tils. Tout le monde est de bonne humeur. Ça fait du bien.

Je mon­tre mon bil­let à une placière et elle me dirige vers la droite de la salle en me dis­ant : « Pour Véronique, c’est la 3ième rangée ». J’ai passé plusieurs instants à observ­er mon bil­let en cher­chant com­ment elle avait dev­iné que j’é­tais un ami de Véronique, avant de me sou­venir que je por­tais un chandail avec son nom dessus. Doh!

Après avoir trou­vé nos places (une feuille, col­lée à notre siège, indique « Véronique, famille et amis »), Tom­my et moi on part pour explor­er les lieux. À cause du chandail « On t’aime Véro », les gens nous souri­ent et nous salu­ent par­fois. Il y a une con­sole de son assez impres­sion­nante en arrière. Juste à côté, Émi­ly Bégin est instal­lée devant son micro pour l’an­i­ma­tion de l’émis­sion à Radio Énergie.

Avant le spec­ta­cle, c’est le fes­ti­val des entre­vues et des pho­tos. Les par­ents de Véro sont sol­lic­ités par plusieurs médias qui veu­lent tous avoir leur petit bout d’en­tre­vue. Ensuite, tout le groupe que nous étions s’est prêté à une petite séance de pho­tos pour le Jour­nal de Mon­tréal.

Quelques min­utes avant le début du spec­ta­cle, Éric Sal­vail fait un peu d’an­i­ma­tion et nous explique, très sim­ple­ment et de façon humoris­tique, le déroule­ment du spec­ta­cle, les pris­es de vue prévues et les sourires qu’il aimerait voir sur nos vis­ages.

19h30 : Début du spectacle

On voit appa­raître la vue aéri­enne du stu­dio Mel’s sur l’écran géant. Les ani­ma­teurs de foule nous font signe d’ap­plaudir. La musique com­mence. C’est par­ti!

Le spec­ta­cle ressem­ble beau­coup à ce qui peut être vu à la télé, avec les change­ments de caméra en moins. Durant les paus­es, Éric Sal­vail ani­me, fait des tirages et s’oc­cupe bien de nous. Pen­dant ce temps, la pro­duc­tion envahit la scène pour faire des retouch­es aux maquil­lages ou amé­nag­er les décors du prochain numéro.

L’am­biance durant l’émis­sion est récon­for­t­ante. Ça me donne le goût de pass­er les audi­tions pour l’an prochain. Con­traire­ment à ce que je m’at­tendais, je n’ai pas trou­vé les caméras intim­i­dantes. La caméra qui est entre la scène et le pub­lic est con­trôlée à dis­tance. Elle est comique à voir bouger. La tech­nolo­gie est impres­sion­nante. C’est un spec­ta­cle à gros bud­get et ça paraît.

Il y a des écrans qui affichent les paroles des chan­sons à mesure qu’elles sont chan­tées. Ça indique aus­si qui chante quoi et quand les chœurs doivent embar­quer. C’est pra­tique pour les blancs de mémoire.

21h30 : Le spectacle prend fin

On envoie la main aux académi­ciens qui sont dans l’au­to­bus. J’ai essayé de trou­ver Véronique, mais tout ce que j’ai pu voir, ce sont des sil­hou­ettes. Les fenêtres de l’au­to­bus ne lais­saient pas assez pass­er la lumière.

Après le spec­ta­cle, j’ai dis­cuté un brin avec des gens dans l’en­tourage des par­tic­i­pants.

Nous avons ensuite quit­té le stu­dio pour ne pas arriv­er trop tard à Québec.

Arrivée à Québec à 23h50. Ce fut une belle journée…!