3 raisons pourquoi j’adore Google+

J’adore Google+, le nou­veau réseau social de Google.

Google+ ressem­ble beau­coup à Face­book, mais je crois qu’à court terme, il fera plus mal à Twit­ter qu’à Face­book.

Dans les pre­miers jours de son exis­tence, c’est le même groupe de technophiles-ear­ly-adopters que je lis sur Twit­ter qui s’est rapi­de­ment inscrit à Google+. Ce sont les gens les plus enclins à essay­er de nou­velles choses, quand il est ques­tion de tech­nolo­gie.

Si l’outil lève vrai­ment par la suite, une cer­taine par­tie des util­isa­teurs de Face­book seront ten­té de faire le saut ou de tout sim­ple­ment faire une dou­ble util­i­sa­tion des réseaux soci­aux, mais pour l’in­stant Face­book est encore un lieu bien con­fort­able pour ses 750 mil­lions d’u­til­isa­teurs.

Alors venons-en aux faits. Voici les 3 raisons pourquoi j’adore Google+.

1. Il n’y a pas de stupide limite de 140 caractères.

Google+ fonc­tionne un peu comme Twit­ter côté ges­tion des rela­tions entre deux per­son­nes. Il est pos­si­ble sur Google+ de suiv­re quelqu’un qui ne nous suiv­ra pas en retour. C’est moins intrusif et ça per­met de s’in­former via des gens qu’on trou­ve intéres­sants sans qu’eux aient à accepter de s’ou­vrir com­plète­ment à nous, grâce aux cer­cles (voir point 3).

Con­traire­ment à Twit­ter, Google+ n’im­pose pas la détestable lim­ite de 140 car­ac­tère qui a fait par­ti du mar­ket­ing de Twit­ter depuis le début. Quand j’écris quelque chose, j’aime l’écrire dans toute sa com­plex­ité et ses nuances. Ce n’est pas en enl­e­vant des mots et en se résumant à out­rance qu’on peut vrai­ment dis­cuter autrement que super­fi­cielle­ment. Si vous utilisez Twit­ter, vous com­pren­drez de quoi je par­le.

Google+ per­met de com­mu­ni­quer avec autant de mots que l’on veut bien écrire.

2. Il est possible de modifier une publication après l’avoir diffusée

Ça nous est tous arrivé. On pub­lie quelque chose sur Face­book ou Twit­ter et on fait une grosse faute d’orthographe, ou le lien qu’on a col­lé ne fonc­tionne pas. Solu­tion? Effac­er tout et recom­mencer. C’est dom­mage quand des gens ont inter­a­gi avec nous et qu’on doit effac­er et per­dre cette inter­ac­tion par le fait même.

Google+ per­met d’ap­porter des change­ment au con­tenu pub­lié précédem­ment. Il suf­fit de cli­quer sur la petite flèche placée à droite du con­tenu et de choisir “Mod­i­fi­er ce post”. Full cool!

3. Les cercles

Je serai juste : les cer­cles exis­tent déjà sur Face­book. Ça s’ap­pelle des groupes. À ma con­nais­sance, il n’y a rien qu’un cer­cle per­met de faire qui ne se fait pas déjà avec les groupes de Face­book.

Mais les cer­cles sont mieux implan­tés que les groupes. Leur util­i­sa­tion est plus intu­itive — de la créa­tion et l’a­jout de con­tacts jusqu’à la pub­li­ca­tion de con­tenu. La preuve, c’est que bien des gens ont vu ça comme une nou­veauté. Facile!

Un succès…?

Je ne suis pas devin mais je crois que Google+, qui approche déjà les 20 mil­lions d’u­til­isa­teurs, sera un suc­cès. Il était temps, parce que Google a eu son lot d’échecs récem­ment, de Wave à Buzz. De bien bonnes idées, mais qui n’ont pas lev­ées.

Cette fois-ci, le pro­duit est de qual­ité, et je sens déjà que les habitués de Twit­ter sont au ren­dez-vous. Est-ce que ce sera un suc­cès? L’avenir nous le dira.